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    Seine-et-Marne

     

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    Cambresis

     

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    m.nieuwjaer@orange.fr 

    21 rue Léon Gambetta 59188 Villers-en- Cauchies

    Cambresis

     

    Cambrai : la remise des prix du concours de poésie 

    sur le thème « vers la lumière » a été faite

    ce mercredi 21 juin à la mairie de Cambrai a eu lieu la remise des prix du concours
    de poésie organisé par la municipalité en partenariat avec la Société des Poètes
    Français à l’occasion des 120 ans de cette dernière et en hommage à Auguste
    Dorchain, poète né en 1857 à Cambrai.

    Cambresis

     

    "Remise des prix du concours international francophone de poésie Jeunesse 2022-2023 de la Société des Poètes Français le 21/06/2023 à la mairie de Cambrai à 2 lauréates cambrésiennes :

    Aurore Degryse – Grand Prix de Poésie libre

    Collectif CE2-CM1 de Madame Fabienne Morelle – Diplôme d’honneur" 

     

    Cambresis

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    Aurore Degryse a obtenu le Grand Prix de poésie libre.


    Pendant trois semaines, les enseignants[e]s ont mobilisé leurs élèves pour générer plus de cent poèmes. Le thème choisi était « vers la lumière ». C’est Marc Nieuwjaer, administrateur de la Société des Poètes Français, correspondant des Pays du Cambrésis, qui a remis les prix aux lauréats de ce concours de poésie. Aurore Degryse, encouragée par sa professeure kelly Dormegnie de l’école Saint-Luc, a obtenu le Grand Prix de poésie libre pour son poème « vers la lumière ». Le collectif CE2-CM1 de Fabienne Morelle, directrice de l’école Ferdinand Buisson, a obtenu un diplôme d’honneur pour son poème « lumières du monde ».

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    Vient de paraitre

     

    Notre ami, membre du Comité d'honneur S.P.F, le professeur émérite

    ( Bari & Sorbonne) Giovanni DOTOLI. Grand Prix de l’Académie française,

    auteur d'innombrables ouvrages littéraires, vient du publier un essai extraordinairement d'actualité.

     

                                                    Giovanni DOTOLI.

                                        "ZOLA écrivain du XXI ème siècle"  

                                    Aux éditions de l'Harmattan - collection L'Orizzonte -

                                                                Format 15x21 - 96 pages.

                                   Prix public 15€ TTC.  En vente chez l'Harmattan ou en ligne.

     

    Vient de paraitre

     

    Vient de paraitre

     

     

     

     

     

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    Dates Comité 2020

     

    COMITÉ SPF

     

     

     

     

     

     

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    Festival Sète 2020

    Festival Sète 2020

    Festival Sète 2020

     

    Festival Sète 2020

      

    Festival Sète 2020

     

    Festival Sète 2020

     

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    Concours Poésie jeunes en anglais

     2020/2021

     Concours Poésie jeunes en anglais

    Concours Poésie jeunes en anglais

     

     

     

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    Hommage à Victor Hugo

     

    VICTOR

     

    Avec son regard superbe

    Ton soleil flambe

    Sur les faubourgs des misères

    Et réchauffe la cathédrale

    Qui ouvre son cœur

    À la foi de la ville.

     

    Tes vers coulent doucement

    Des gargouilles

    Alors que les cloches de Quasimodo

    Chantent encore sa passion

    Pour la belle Esméralda.

     

    Sur les bords de l’océan

    Ta grandeur a fleuri

    Dans les bras de l’exil

    S’envolant plus tard au-delà de la Manche

    Pour bruler sans cesse

    Sous le dôme de la gloire.

     

    Les gamins en fête

    Sortent du nid de ta poésie

    Et s’élèvent au-dessus des barricades

    Où la pauvreté brise ses chaines

    Pour se coucher dans l’or du soir

    Pendant que les voiles silencieuses

    Descendent le fleuve du chagrin.

     

    Le chant de ton art s’écoule dans ma vie

    Qui sort de la brume

    A l’heure où résonne

    Le clairon de ta voix.

     

    Ton esprit agile

    Nage dans les vagues de l’infini

    Par-dessus les villes et les mers

    Par-dessus les forêts et les montagnes

    Et plane

    Sur les eaux terribles de Villequier

    Où flotte ton souvenir attendri.

     

    Ta sensualité drapée d’un voile léger

    Libère la chair prisonnière de

    La sombre main puritaine

    Et invoque

    Vénus sortant de l’onde.

     

    Les ivresses de l’amour

    Arrosent ton œuvre

    Assise sur le trône de la Liberté

    Guidant le laboureur

    Qui sème la vie

    Et les grains de l’espérance.

     

    Quand l’aube blanchit la campagne

    Je pense à toi, à ton âme grandiose.

    Alors je traverse les près en fleurs

    De tes Contemplations

    Et je cueille les muguets du bonheur

    Dans ton paradis fraternel.

     

    Renato Villani

     

     

     

     

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    Hommage à Victor Hugo 2020

     

     le Marché de la Poésie de Paris

    en octobre  est annulé

    pour cause de pandémie

     

    Hommage à Victor Hugo 2020

     

     

     

    Hommage à Victor Hugo 2020

     

    Hommage à Victor Hugo 2020

     

    Hommage à Victor Hugo 2020

     Hommage à Victor Hugo 2020

     

    Hommage à Victor Hugo 2020

     

     

     

     

     

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    Morbihan

    Morbihan

    Morbihan

     alain.fleitour@gmail.com

     bsbsbs@wanadoo.fr 

     Pas-de-Calais

    Monsieur le Président, Chers amies et chers amis 

    à l'initiative de Mme La présidente de l'Adaph Paule Vidal

    et avec le soutien de la revue ArMen

    la visite de l'Espace Pierre de Grauw est donc lancée

    avec l'appui de la Médiatrice  Mme Chantal Bertholom

    *

    Un récital Poétique, préparé par Alain Fleitour illustrant certaines oeuvres de Pierre de Grauw viendra clôturer cette rencontre 

    Récital lu par Emmanuel Delivet et Dominique Poncet 

    récital accompagné à la Harpe par François Pernel

    à votre écoute

    amitiés

    Alain Fleitour

     Pas-de-Calais

     

    Morbihan

    Alain Fleitour sur le stand SPF au Salon de livre de Vannes, le 8 juin 2023.

     

     Pas-de-Calais

     

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    Loir et Cher

    Loir et Cher

     

    Loir et Cher

    simon.gilles717@orange.fr

     

    Loir et Cher

    L'association "le cercle des poètes retrouvés en Vendômois" propose une soirée autour de Victor HUGO : "HUGO, une force qui va !" le vendredi 17 Décembre prochain, à Vendôme. Etant donné les liens entre la mémoire du grand poète et la genèse de la Société des Poètes Français, il souhaite diffuser l'information auprès des membre de la SPF. PJ : article à paraître dans un hebdomadaire local et affiche de la soirée. Article: « HUGO, UNE FORCE QUI VA ! » « Ce siècle avait deux ans… ». Ainsi se présente Victor HUGO. L’illustre poète, « cette force qui va », expression reprise de la scène III, acte IV d’Hernani, sera le thème de la soirée que le cercle des poètes retrouvés en Vendômois présentera à « l’espace 102 », le vendredi 17 décembre prochain à partir de 19H. Rendre compte de tous les talents de Victor HUGO -romancier, dramaturge, artiste plasticien et homme politiqueen 1H15 est une gageure qu’il est impossible de relever. Ce seront donc des poèmes qui seront proposés. Mais, à travers les propres vers du poète, le chantre de l’épopée universelle, le fils de soldat, l’amoureux des femmes et le défenseur des nobles causes seront évoqués. Le lecteur du « fil rouge », personnifiant HUGO, lira aussi des extraits du discours contre la peine de mort et du discours contre la misère, au cours de la présentation. HUGO, un homme aux préoccupations contemporaines à découvrir ou redécouvrir ! 

    Loir et Cher

     

     Loir et Cher

     

    à venir 

     

     

     

     

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    NICOLE  PORTAY

     

     

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    Aude

    Aude

    Aude

    ISABELLE-MARIE  ECHEGUT

    echegut.isabelle@orange.fr

     

     

     

     

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    Ma Liberté

    Ma Liberté

     

     

     

     Liberté où est tu ?

     

    Liberté où est tu ?

     Liberté où est tu ?Liberté où est tu ?Liberté où est tu ? 

     

    Parmi les messages reçus de nos membres, à la suite de "l'exécution", par décapitation, du professeur Samuel Paty, nous partageons ceux qui suivent :

     

    Résistance

    Je suis « prof » mais bien avant,
    J'étais Charlie, un flic qu'on embrasse.
    J'étais un moine, un prêtre, assassinés.
    J'étais un journaliste,
    J'étais un soldat,
    J'étais un homme, une femme, un enfant
    Sous les roues d'un camion.
    J'étais à Nice.
    J'étais au Bataclan, comme à Conflans.
    J'étais heureux,
    J'étais vivant,
    Tout simplement.
    Et puis, ils sont venus,
    Avec leurs kalachnikov,
    Avec leurs grands couteaux,
    Avec la Haine,
    Nous mitrailler, nous égorger.
    Beaucoup, beaucoup trop sont tombés.
    Nous avons tant pleuré.
    Moi, je reste debout,
    En colère et debout,
    Révolté et debout,
    Sidéré mais debout.
    Pour VOUS, je resterai debout !
    J'étais, je suis et je serai,
    Avec mes mots d'Amour,
    La Liberté dans la Fraternité.

    Jean Moraisin

    Liberté où est tu ?

    NOTRE LIBERTÉ

    Vous ne décapiterez pas notre liberté
    Elle est notre souffle au vent du monde
    Notre respiration au cœur du temps
    Notre espoir toujours recommencé

    Vous ne prendrez pas notre liberté
    Elle a soulevé les vagues de la vie
    Elle a ouvert les vannes joyeuses
    Où dansent les foules en liesse

    Vous n’enfermerez pas notre liberté
    Insaisissable insolence nue
    Fière comme une statue de muse
    Belle comme un soleil sur la mer

    Vous ne tuerez pas notre liberté
    Elle inspire toute notre mémoire
    Elle se moque des pisse-vinaigre
    Qui bâillonnent les cœurs

    Venez avec nous frères de rire
    Villon Marot Rabelais Molière
    Scarron Voltaire Beaumarchais
    Allais Brassens Prévert Vian

    La farandole de vos mots hilares
    Fera fondre de folie les infâmes
    Vos livres font vivre et lever l’esprit
    De notre éternelle et belle liberté

    Notre liberté étendra sa lumière
    Sur les tristes litanies assassines
    De toutes les théologies morbides
    Pour ouvrir l’arc-en-ciel universel

    Jean-Pierre Paulhac

    Liberté où est tu ?

    «  Errance rimbaldienne. »


    Pèlerins de la terre,
    Compagnons de misère,
    Frères de larmes
    En quête de paix, de passion,
    De vide et de néant.
    Sur les pas de Rimbaud
    Laissons courir l’outrage, l’offense
    D’une grande parade défroquée,
    Prétendue moderne.
    Comme une fissure
    De vie sur le canal,
    Les péniches se perdent
    Dans les brumes épaisses
    Où elles lancent
    Leurs filets d’imaginaire
    Sur les bancs de la liberté.

    Michel Bénard.

    Liberté où est tu ?

     

    QUE VAUT UN POÈME

    Que vaut un poème

    Quand l'impensable

    L‘inacceptable ignominie,

    Triste litanie,

    Déshonore la terre des Lumières,

    Celle de Voltaire

    Qui guerroya pour le droit au blasphème,

    Quand l’ivraie fanatique s’immisçant

    Ose écimer la pensée    

    Au cœur des gemmes de la Liberté ?

    Que vaut un poème

    Contre ceux qui pliant l'échine

    Par tolérance aveugle

    Et allégeance

    Ont légitimé l'appel à la haine ?

    Que vaut un poème

    Sauf à lever

    Les mots en armée serrée

    À l’assaut d’une sanglante ignorance

    Avant que nos ronds de fumée

    N'éteignent sur les ailes

    Des moulins à vent 

    L’Espérance d’un jeune soleil

    Corrigeant les erreurs des dieux.

    Nicole Portay    

     

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    Nord

     

    Nord

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    JEAN  MORAISIN 

    lesmatinsclairs@aol.com

    Nord

     

    à venir

     

     

     

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    Toutes nos manifestations  de novembre

    annulées, obligation de confinement

     

     

    Alain Rey nous a quitté

    disparition d'un membre de notre Comité d'Honneur

    ALAIN  REY

     

    Alain Rey nous a quitté

     

    Alain Rey nous a quitté

     

                                                     Alain Rey

    l’un des maîtres d’œuvre du dictionnaire Le Robert, est mort

    Auteur de nombreux ouvrages, historien, amateur d’art et de gastronomie, chroniqueur à la radio, le lexicographe et lexicologue est mort à l’âge de 92 ans.

    Par Lucien Jedwab  Le Monde  28/10/2020

    « On ne présente pas Alain Rey. » C’est ainsi qu’était régulièrement introduit dans les conférences ou les émissions auxquelles il participait le lexicographe et lexicologue amoureux des mots, dont le nom reste attaché à celui des dictionnaires Le Robert. Son visage au front dégarni encadré de longs cheveux blancs, sa moustache, ses lunettes et ses vêtements de dandy savamment désassortis en avaient fait un personnage familier, sorte de savant à la Professeur Tournesol, chassant les mots avec son filet à papillons.

    Mais c’est surtout sa voix, tranquille et posée, que, de 1993 à 2006, les auditeurs de France Inter avaient pris l’habitude de retrouver chaque matin dans « Le Mot de la fin ». Car, non content d’être un « géologue » du vocabulaire, érudit aux connaissances encyclopédiques, linguiste, historien, amateur d’art et de gastronomie, Alain Rey, qui est mort le 28 octobre, à Paris, à l’âge de 92 ans, était un passionnant conteur. Il savait partager son immense savoir avec gourmandise, éminçant à plaisir l’histoire des mots, pour mieux exhaler parfum et saveurs – comme lorsqu’on prépare la truffe.

    Alain Rey est né le 30 août en 1928 à Pont-du-Château (Puy-de-Dôme), dans une famille catholique. Son père, polytechnicien et… ténor amateur, était aussi bibliophile, passion qu’il transmit à son fils. La formation du jeune « Rrreye », très tôt amoureux des mots, ne cessa pourtant pas de bifurquer, des mathématiques vers la littérature, puis des études de médiéviste et Sciences Po vers le journalisme économique. Dans l’intervalle, il résilia son sursis et fit l’école d’officiers de Cherchell, en Algérie. Une expérience qui le marqua durablement : il ne vit chez les colons que mépris et, chez les officiers de Saint-Cyr, arrogance et « racisme non avoué ».

    Petite annonce

    En répondant à une petite annonce parue dans… Le Monde, le jeune Alain Rey fit une rencontre déterminante. En effet, au tournant des années 1950, l’héritier d’une riche famille pied-noir d’Orléansville, Paul Robert, frustré des limites des dictionnaires existants, nourrissait le projet d’un ouvrage de type nouveau, basé non plus seulement sur l’ordre alphabétique, mais aussi sur des renvois analogiques (l’intertextualité avant l’heure…). Sa référence : le dictionnaire d’Emile Littré (1801-1881). Alain Rey participa à cette « entreprise imaginative et invraisemblable » aux côtés de Josette Debove, sa future épouse. Celle-ci, lexicographe, sémiologue et universitaire, est morte en 2005, après une vie commune et une collaboration de cinquante années. Le couple n’a pas eu d’enfants, mais les nombreux ouvrages auxquels ils ont contribué constituent une postérité sans égal.

    Et tout d’abord le « Grand Robert », dont la première édition (1953-1966), sous l’autorité de Paul Robert, sera suivie d’une deuxième (en 1985), avant une nouvelle édition augmentée (en 2001, avec Danièle Morvan). Un travail titanesque de réactualisation, exigeant la minutie de moines bénédictins, mais qui a bénéficié au fil du temps des apports de l’informatique et des techniques d’impression les plus performantes. Bien loin des fiches manuscrites de Paul Robert, à Casablanca, lors des débuts de l’entreprise…

    En 1967 parut la première édition du Petit Robert (sous la triple houlette d’Alain Rey, Josette Rey-Debove et Henri Cottez), qui, « remanié et amplifié », fut suivi du Petit Robert des noms propres. Incontestable nouveauté par rapport à son concurrent, le septuagénaire Petit Larousse illustré : une plus grande ouverture au français du Québec ou de Bruxelles, une aptitude à capter l’air du temps, à intégrer les mots de tous les jours, y compris les onomatopées ou les mots argotiques. Alain Rey, grand et éclectique lecteur, n’hésita pas à illustrer les définitions par des exemples issus de la littérature vivante, de Céline à Frédéric Dard en passant par Raymond Queneau. Le Petit Robert est, à sa manière, un enfant de Mai 68.

    Un Dictionnaire des expressions et locutions (avec Sophie Chantreau) suivit en 1979, dont la préface, dense, introduit à une lecture butineuse et ludique. A la manière d’un précédent ouvrage coécrit avec son compère Jacques Cellard, titulaire de la « Chronique du langage » dans Le Monde de 1971 à 1985 : le Dictionnaire du français non conventionnel (le « Non con », paru chez Hachette), florilège d’expressions argotiques et fleuries, où le sexe sous toutes ses formes et l’argent procuré de toutes les manières possibles sont rois.

    Vulgarisation intelligente

    Autre étape majeure, la publication d’un Dictionnaire historique de la langue française, en 1992. Le succès fut au rendez-vous. Racontée avec rigueur mais dans un style vivant, l’histoire des mots s’y lit comme un roman. La publication, en 2005, du Dictionnaire culturel en langue française a constitué un autre moment-clé du travail collectif mené par Alain Rey. Là, la grande innovation, ce sont ces encadrés qui viennent éclairer par des citations ou des développements les définitions de la partie lexicographique.

    Parallèlement à son activité de directeur éditorial, Alain Rey n’a cessé de publier des ouvrages tantôt savants, tantôt de vulgarisation intelligente, prouvant, s’il en était besoin, qu’il n’est pas nécessaire d’être abscons pour être rigoureux. Parmi ceux-ci, deux biographies originales : celle d’Emile Littré, l’inspirateur de Paul Robert (Gallimard, 1970), et celle d’Antoine Furetière (1619-1688), ancêtre des lexicographes modernes (Fayard, 2006) ; des ouvrages de lexicologie, dont un passionnant Dictionnaire amoureux des dictionnaires (Plon, 2011) ; un « Découvertes » Gallimard sur le français (2008) ; des « Que sais-je ? », collection dont le nom lui allait comme un gant. Car Alain Rey fut, à cheval sur deux siècles, un héritier érudit mais toujours modeste des humanistes de la Renaissance, de Rabelais surtout, qu’il pratiquait au quotidien. Ainsi que des savants, penseurs et philosophes perses, hébreux, arabes ou grecs qui ont élaboré, traduit et transmis nombre d’écrits fondamentaux de l’humanité.

    Ayant pour mot favori l’adjectif « luciférienne » (qui vient de Lucifer, littéralement le « porteur de lumière »), Alain Rey ne laissa à personne le plaisir de rédiger un Dictionnaire amoureux du diable (Plon, 2013), à mettre entre toutes les mains. Un de ses derniers ouvrages, illustré par des calligraphies de Lassaâd Metoui, raconte Le Voyage des mots. De l’Orient arabe et persan vers la langue française (Guy Trédaniel Editeur, 2013). Rappelant avec pertinence que les langues sont sans patrie et se jouent des frontières…


    Alain Rey en quelques dates :

    30 août 1928 Naissance à Pont-du-Château (Puy-de-Dôme)

    1952 Début de la collaboration avec Paul Robert (1910-1980), en vue de la création d’un nouveau dictionnaire

    1953 Premier volume du Grand Robert

    1967 Première édition du Petit Robert

    1985 Nouvelle édition du Grand Robert de la langue française

    1992 Dictionnaire historique de la langue française

    1993-2006 Il tient la chronique « Le Mot de la fin » sur France Inter

    2011 Dictionnaire amoureux des dictionnaires (Plon)

    2013 Dictionnaire amoureux du diable (Plon)

    2018 Hommage aux mots (Hermann)

    28 octobre 2020 Mort à Paris

    Lucien Jedwab

     

    Alain Rey nous a quitté

     

    Alain Rey :

    « L’hostilité au père a été quelque chose de fondamental »

    Je ne serais pas arrivé là si… « Le Monde » interroge une personnalité sur un moment décisif de son existence. Cette semaine, le lexicologue revient sur son éducation pendant la seconde guerre mondiale avec un père aux côtés « noirs », et sur l’aventure du « Robert ».

    Propos recueillis par Sandrine Blanchard Le Monde  Publié le 08 septembre 2019

    Entretien. Lexicologue, rédacteur en chef des publications des éditions Le Robert, ancien chroniqueur sur France Inter, Alain Rey continue, à 91 ans, d’enrichir le Dictionnaire historique de la langue française, dont la huitième édition en coffret poche sort le 3 octobre. Pour la première fois, le visage de ce spécialiste des mots, croqué par l’auteur-dessinateur Riad Sattouf, fait la couverture du « Petit Robert » 2020.

    Je ne serais pas arrivé là si…

    Si je n’avais pas eu beaucoup de chance dans mon enfance entre une mère exagérément affectueuse, qui me lisait beaucoup d’histoires, et un père qui, tout en étant polytechnicien, était très musicien, chanteur et bibliophile. J’ai été bercé par Bach et Schubert dès ma plus tendre enfance. Et je ne serais pas arrivé là si je n’avais pas passé des vacances d’été à La Bourboule en Auvergne. Il pleuvait souvent, alors je lisais énormément, notamment des bandes dessinées. Il y avait les permises (Tintin, Jo et Zette dans le magazine Cœurs vaillants) et les interdites (comme HurrahMandrake le magicien, Guy l’Eclair). Bien sûr, c’est celles-là que je préférais !

    « J’étais un enfant catholique surveillé comme tel. J’ai joué le jeu jusqu’à 14 ans. Puis j’ai eu l’impression que ce régime-là était uniquement fait pour gêner, empêcher, interdire »

    Quels souvenirs remontent lorsque vous pensez à votre enfance ?

    Mon enfance a été pas mal bousculée par la guerre et une longue absence de mon père, coincé en Iran où il dirigeait des travaux. Mais ça ne m’a pas traumatisé car les gens qui comptaient le plus dans ma vie, c’étaient des femmes : ma mère, mes deux sœurs et deux grands-mères, l’une qui était comme une copine et l’autre, sévère, habillée de noir, modèle d’énergie. Elle avait eu dix-sept enfants – quatorze en vie – et, après la mort de son mari, dirigeait la brasserie familiale. Et puis j’avais une série d’oncles et de tantes religieux : deux chartreux, un capucin, une « sœur blanche » et une clarisse.

    Quelle influence cela a-t-il eue sur vous ?

    J’étais un enfant catholique surveillé comme tel. J’ai joué le jeu jusqu’à 14 ans. Puis j’ai eu l’impression que ce régime-là était uniquement fait pour gêner, empêcher, interdire. J’avais le sentiment d’une extraordinaire comédie. Je me suis révolté passivement : je ne communiais plus et je ne suis plus allé à l’église.

    Aviez-vous déjà un amour des mots ?

    Ah oui, cela, c’est de tout temps ! Mes lectures, mon goût pour le vocabulaire, me prenaient beaucoup. A l’école, je dessinais des espèces de schémas en écrivant, par exemple, toutes les parties d’un bateau – les cacatois, les artimons n’avaient aucun secret pour moi ! – juste pour le plaisir des mots. Cela me titillait mais je ne savais pas du tout que ça pouvait être un métier. Tout m’intéressait, même les noms propres. Je me souviendrai toujours du jour où j’ai découvert que l’écrivain dont je lisais le nom avec peine et que je prononçais « Chaquespire » n’était autre que le Shakespeare dont parlaient mes parents quand ils allaient au théâtre ! Ça a été une révélation ! Si c’était comme ça pour un nom, qu’est-ce que ça devait être pour l’ensemble !

    Donc une enfance heureuse malgré la guerre ?

    Mais avec un côté noir chez mon père, qui était d’extrême droite au début – il a évolué après –, et passablement antisémite. Ça a servi à ma prise de conscience personnelle. A La Bourboule, pendant l’Occupation, j’ai eu un premier choc sur les préventions insupportables de mon père contre certaines personnes. Il y avait pas mal de réfugiés. Presque tous mes profs de cette époque étaient d’Europe centrale. J’ai découvert une culture et des gens adorables.

    Il y a une anecdote que je n’oublierai jamais : pendant l’Occupation, j’étais fanatique d’astronomie. J’avais persuadé mon père de m’acheter une lunette d’occasion. Le propriétaire qui la vendait était un homme insupportable, extrêmement antisémite, et mon père a eu une belle leçon. Le type l’a regardé de profil et lui a demandé : « Vous ne seriez pas un peu juif, vous ? » J’ai vu mon père blêmir, je me suis dit : « Bien fait pour lui, ça lui apprendra à vivre ! »

    Et contrairement à votre père, vous avez choisi de faire des études littéraires…

    Cela lui aurait fait plaisir que je me lance dans des études scientifiques. Mais je ne voulais pas obéir bêtement à des lois extérieures. J’ai fait une année d’hypokhâgne qui m’a beaucoup apporté, avec un prof de littérature qui nous a fait découvrir Henri Michaux, qui reste l’un de mes poètes favoris ; puis plusieurs certificats de licence, et Sciences Po qui m’a essentiellement servi à jouer au poker ! J’ai raté l’examen de sortie parce qu’on m’a posé des questions sur des trucs fiscaux… Je n’ai pas le diplôme !

    « Décrire correctement les mots, c’est décrire une époque, une manière de penser »

    Quand j’ai arrêté mes études, il y a eu un « je ne serais pas arrivé là si » important : mon service militaire. Il n’a duré qu’un an, mais fut intense. J’ai interrompu mon sursis d’étudiant parce que je ne voulais pas partir à l’armée à 30 ans. Après mon certificat de licence en histoire de l’art – qui m’a passionné – je me suis retrouvé tout à fait par hasard sur un bateau avec des tirailleurs tunisiens. Tout d’un coup, un univers inconnu me tombait sur la gueule et, une fois arrivé en Tunisie, j’ai eu une prise de conscience des vrais problèmes : les limites de la présence française, l’inconvénient de porter une chéchia qui faisait que les Français de Sousse, où j’étais cantonné, me traitaient avec mépris. Tout cela, croisé avec la découverte de la revue Les Temps modernes et l’influence de Sartre, très importante pour moi, m’a fait les pieds solidement et rapidement. Alors que j’étais parti au service militaire avec une idéologie nulle de petit-bourgeois protégé, j’en suis revenu différent.

    Que voulez-vous dire par « idéologie nulle de petit-bourgeois protégé » ?

    J’aurais pu assez mal tourner. Mon père faisait partie des Croix-de-feu quand même… Et lorsque j’étais au lycée Pasteur à Neuilly, il y avait « vive le Duce » [Mussolini] écrit partout sur les murs et des caricatures de Blum.

    Qu’est-ce qui fait que vous prenez vos distances ?

    D’abord, l’hostilité au père. Ça, c’est fondamental. Il chante bien Bach, mais il y a quelque chose chez lui qui ne va pas. Puis la prise de contact avec la véritable situation coloniale, l’inégalité entretenue, et la découverte de l’armée, qui m’a stupéfait. Tous mes préjugés se sont effondrés. J’avais une idée courtelinesque d’officiers merveilleux et d’adjudants idiots, et j’ai vu l’inverse.

    Au retour du service militaire, votre vie va basculer…

    Une offre d’emploi dans Le Monde va tout changer. Une tante un peu folâtre me montre une annonce : « Recherche des collaborateurs pour des travaux paralittéraires. » Je ne savais pas du tout ce que c’était ! J’ai candidaté. J’ai rencontré à Paris le cousin du lexicographe Paul Robert [1910-1980, le fondateur des éditions Le Robert] qui m’a expliqué qu’il s’agissait de faire un dictionnaire et m’a proposé de faire un essai. Je n’aimais pas les dictionnaires, ça m’emmerdait, je trouvais cela figé ! C’était la première fois de ma vie que j’ouvrais Le Littré et que je m’essayais à faire un article de dictionnaire ! J’avais choisi le mot « autel » . Un jour je reçois une lettre de Paul Robert : « Votre essai m’a convaincu, je vous attends. »

    Ce nouveau travail vous a-t-il tout de suite plu ?

    Oui, j’ai trouvé ça extraordinaire, fascinant. Passer des Antilles à l’antimoine, ça me plaisait ! Il y avait quelque chose à faire qui me paraissait essentiel mais je ne savais pas trop quoi. Est-ce que les mots révélaient quelque chose de la société ou pas ? Est-ce que la littérature contemporaine méritait d’y figurer ? Paul Robert acceptait presque tout. C’était une éponge. De l’intérieur, on pouvait changer ce livre et en faire quelque chose d’acceptable. A chaque sortie de fascicule, on se jetait dessus pour retrouver ce qu’on avait fait, avec une frustration grandissante car Paul Robert s’arrogeait toute la responsabilité. Les collaborateurs n’étaient même pas mentionnés.

    Quel est le meilleur mot pour définir votre métier ?

    Lexicologue, je veux bien. J’aurais voulu être linguiste. Je ne le suis pas. J’en ai fait beaucoup mais j’ai appris tout seul, sur le tas, grâce à des lectures et des rencontres avec des universitaires tels que Jean Dubois, maître à penser des éditions Larousse, et Pierre Guiraud, grand étymologiste.

    Pourquoi est-ce vous qui passez aux commandes du Robert ?

    Je travaillais vite et tout le temps. Paul Robert n’avait pas vu ni prévu que je lui pétais sa baraque. Je faisais autre chose que ce qu’il avait voulu au départ. Cela s’est réalisé quand nous avons fait Le Petit Robert avec Josette Rey-Debove (ma première épouse) et le normalien Henri Cottez. Un bon dictionnaire est obligé de tenir compte des usages les plus marginaux de la langue, y compris de la poésie. Progressivement, nous comprenons que décrire correctement les mots, c’est décrire une époque, une manière de penser. Je me suis toujours intéressé à la dimension sociale et politique des mots parce que le côté formel de la linguistique ou de la philologie ne me satisfait pas. On ne peut pas faire de l’histoire sans faire de l’histoire lexicale.

    Alain Rey nous a quitté

    journal "Le Monde"

    Alain Rey nous a quitté

    Alain Rey nous a quitté


    Toutes mes condoléances émues pour le décès d’Alain Rey. Notre monde se vide de ses meilleurs enfants. D’autres vont suivre comme le veut la vie. Un de nos hommes de foi avait dit à ses disciples: « Enfin j’ai trouvé comment ne jamais mourir »! Silence de l’assistance. Il asséna ceci : « La seule manière de vaincre la mort et de ne jamais la rencontrer, c’est de ne pas
     naître ». Qu’Alain Rey repose en paix .
    amadou lamine sall 

     Dakar, ce 29 oct. 2020.

    Alain Rey nous a quitté 

    Fabuleux. Un très grand merci pour l’article biographique du Monde sur Alain REY.

    Il y a aussi un article, aujourd’hui, en quatrième de couverture de Ouest- France.
    Bonne journée 

    Angel Sanchez 

    Alain Rey nous a quitté

     La disparition d'un artiste, écrivain,scientifique signifie toujours un vide dans l'univers de la culture mondiale.

    La culture reste plus pauvre et triste. Ces jours-là quand la mort est souvent chez elle, chaque être humain représente une valeur en soi-même.
    Dommage que les grands esprits se retirent dans un autre univers.
     
    Bonne nuit, mes amis, Manolita (Roumanie)
     
    Alain Rey nous a quitté
     Avec la disparition d'Alain Ray nous perdons un homme d'une haute culture. Un de ces hommes qui sont des passeurs de lumière, qui représentent encore la vraie culture.
    Jean-Pierre 
    Alain Rey nous a quitté 
    Merci bien de cette triste mention et merci de votre hommage très complet eu égard à cette grande personnalité du monde littéraire francophone.
     
     Cécile TOUATI
    Alain Rey nous a quitté
     
     
     
     
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    c'est  l'HIVER

      

     

    c'est  l'HIVER

    c'est  l'HIVER

       c'est  l'HIVER

     

     

     

    c'est  l'HIVER

     

     

    Matin de décembre

     On s'éveille

    du coton dans les oreilles

    une petite angoisse douce

    autour du cœur, comme mousse

    c'est la neige,

    l'hiver blanc

    sur ses semelles de liège

    qui nous a surpris, dormant.

     Guy-Charles Cros 

    **********************************************

    Décembre

    Un brouillard épais noie

    L'horizon où tournoie

    Un nuage blafard,

    Et le soleil s'efface,

    Pâle comme la face

    D'une vieille sans fard.

    La haute cheminée,

    Sombre et chaperonnée

    D'un tourbillon fumeux,

    Comme un mât de navire,

    De sa pointe déchire

    Le bord du ciel brumeux.

    Sur un ton monotone

    La bise hurle et tonne

    Dans le corridor noir :

    C'est l'hiver, c'est décembre,

    Il faut garder la chambre

    Du matin jusqu'au soir.

    Les fleurs de la gelée

    Sur la vitre étoilée

    Courent en rameaux blancs,

    Et mon chat qui grelotte,

    Se ramasse en pelote

    Près des tisons croulants.

     Théophile Gautier

    *****************************************************************

    L'ennemi 

    Il y aura toujours dans l'automne   

    Une pomme sur le point de tomber.

     

    Il y aura toujours dans l'hiver 

    Une fontaine sur le point de geler.

    l'ennemi

    Nous le connaissons.

     Eugène Guillevic

    **********************************************************************************

    La bise

     Va-t'en, me dit la bise,

    C'est mon tour de chanter.

    Et tremblante, surprise,

    N'osant pas résister,

     

    Fort décontenancée

    Devant un Quos ego,

    Ma chanson est chassée

    Par cette Virago.

     

    Pluie. On me congédie

    Partout, sur tous les tons.

    Fin de la comédie.

    Hirondelles, partons.

     

    Grêle et vent. La ramée

    Tord ses bras rabougris ;

    Là-bas fuit la fumée

    Blanche sur le ciel gris.

     

    Une pâle dorure

    Jaunit les coteaux froids.

    Le trou de ma serrure

    Me souffle sur les doigts.

     Victor Hugo 

    ********************************************************************************

    Couchant d'hiver (extrait)

     Quel couchant douloureux nous avons eu ce soir !

    Dans les arbres pleurait un vent de désespoir,

    Abattant du bois mort dans les feuilles rouillées,

    A travers le lacis des branches dépouillées

    Dont l'eau-forte sabrait le ciel bleu-clair et froid,

    Solitaire et navrant, descendait l'arbre-roi.

    Ô Soleil ! l'autre été, magnifique en ta gloire,

    Tu sombrais, radieux comme un grand Saint-Ciboire,

    Incendiant l'azur ! A présent, nous voyons

    Un disque safrane, malade, sans rayons,

    Qui meurt à l'horizon balayé de cinabre,

    Tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre,

    Colorant faiblement les nuages frileux

    En blanc morne et livide, en verdâtre fielleux.

    Vieil or, rose fané, gris de plomb, lilas pâle,

    Oh ! c'est fini, fini ! Longuement le vent râle,

    Tout est jaune et poussif ; les jours sont révolus,

    La Terre a fait son temps ; ses reins n'en peuvent plus.

     Jules Laforgue

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    Exposition éphémère confinement au siège

    Exposition éphémère confinement au siège

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    Côtes d'Armor

    Côtes d'Armor

    Côtes d'Armor

    BÉATRICE DE MARQUÉ 

     talomaros@live.fr

     

    Côtes d'Armor

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    Pas de Calais 

     

    Pas de Calais

     

    Pas de Calais

     FRANÇOIS GOBLET

     acrostiche37@yahoo.com

    Pas de Calais 

    Le club des poètes sous l'égide de la SPF se réunira tous les vendredis matin et certains samedis matin de 9H à 10H30 au salon de thé le Saint O place Victor Hugo à Saint Omer durant tout l'été

     

    Pas de Calais

     

    Nous avons eu un bel article dans le journal l'Indépendant du Pas de Calais pour notre récital de poésie du 18 février à la Médiatour de Longuenesse et nous avons eu ce 8 mars une très belle réunion du club des poètes de Saint Omer sous l'égide de la SPF où j'ai présenté l'oeuvre de mon amie la poétesse Milène Tournier prix révélation poésie de la SGDL 2021  et dont je présenterai encore la poésie lors de notre prochaine rencontre tapages d'auteurs du 1er avril à la Médiatour de Longuenesse ; notre prochaine rencontre poétique aura lieu le 16 mars . A titre personnel je suis publié dans l'anthologie Frontière(s) du Cénacle de Douayeul   pour le printemps des poètes 2023 et je collabore à la revue Feuilles de poémier bimestrielle de ce même cénacle de Douayeul .

     

     

    Notre récital de poésie à la Médiatour de Longuenesse du 18 février s'est très bien passé devant un très nombreux public et nous étions accompagnés à la guitare et à la flûte par deux musiciens . J'ai pour ma part lu des poèmes de Paul Verlaine , de François Cheng , de Marie Claire Bancquart et de moi même . Nous étions huit poètes et nous avons eu une soixantaine de personnes dans le public et nous avons été largement ovationnés à la fin du récital . Déja une autre proposition de récital poétique nous a été faite pour l'an prochain et nous continuons nos réunions mensuelles de poésie sous l'égide de la SPF dans la même médiathèue . La presse locale a bien annoncé ce rendez vous et j'ai partagé sur facebook les photos du récital ainsi qu'à Marc Nieuwjaer , Nicole Portay et Jean Pierre Paulhac

    Pas de Calais 

     

    nous faisons un récital de poésie le 18 février à la Médiatour de Longuenesse 62219  dans le cadre d'une exposition masques et visages  et devant un public qui devrait être nombreux  ; nous sommes 8 poètes et Deux musiciens et je n'ai pas manqué de citer la SPF dans le livre d'or de l'exposition ce matin lors du vernissage et dans mes relais aux divers médias locaux ainsi qu'à la maison de la poésie des Hauts de France qui pense nous rejoindre aussi dans nos réunions mensuelles de la poésie avec en particulier monsieur Alain Rousseau qui en est l'administrateur et que j'ai parrainé à la SPF il y a deux ans et qui a été publié dans un des derniers Agoras .Nous continuons nos réunions mensuelles sous l'égide de la SPF et nos autres rendez vous littéraires réguliers

    Pas de Calais  

     

     Pas de Calais 

    Nous avons eu notre première réunion entre auteurs hier pour préparer nos rencontres d'auteurs tapages d'auteurs avec le Cattleya dont mon ami Patrice Dufétel est président et nous en avons encore une Mardi 29 novembre pour des rencontres d'auteurs trimestrielles qui débuteraient en Avril mai 2023  et le premuier auteur invité serait le romancier Pierre Yves Lequeux dont je découvre les oeuvres et il y aura une partie poésie sous l'égide de la SPF et du Cattleya pour ces rencontres et je vais en informer la bibliothèque de Saint Omer et les librairies ce jour . Nos prochaines lectures poétiques à la Médiatour de longuenesse auront lieu le 8 décembre et le 5 janvier toujours sous l'égide de la SPF et ce sont des réunions de haute teneur poétique et d'amitié .

    Pas de Calais

     

    Nous poursuivons notre club des poètes au salon de thé le Saint O à Saint Omer et nos lectures poétiques à la Médiatour de Longuenesse avec succés  et nous poursuivrons en 2023 . je continue de fréquenter assidument bibliothèques et librairies de Saint Omer et en 2023 nous allons inintier avec l'association poétique le Cattleya dont mon ami Patrice Dufétel est président des rencontres thématiques autour d'artistes et d'écrivains dont nous interrogerons les oeuvres , le parcours et le travail qui s'intituleront " tapages d'auteurs" , ce seront des rendez vous trimestriels je crois et nous ferons un récital poétique le 18 février à la Médiatour de Longuenesse et j'ai rencontré un journaliste ce samedi à qui j'ai parlé de la SPF et de ses 120 ans

    Pas de Calais

     

    Le club des poètes de Saint Omer sous l'égide de la Société des Poètes Français se réunira le mercredi 5 octobre de 14H à 16H  au salon de thé le Saint O place Victor Hugo à Saint Omer et il y sera bien sûr question des 120 de la SPF .

    Pas de Calais 

    Nous reprenons le 15 septembre nos lectures mensuelles de poésie à la médiatour de Longuenesse ( 62219)  avec mes amis Patrice Dufétel et Alicia Dehondt et mon amie Marie Paule Wils poétesse Malvoyante que j'ai parrainé et qui a été acceptée à la SPF toujours sous l'égide de la SPF . les autres dates de ces rendez vous sont le 13 octobre et le 17 novembre .Mon ami Marcel Michel est très heureux d'avoir intégré la SPF et je continue de proposer des parrainages à certains et certaines poètes dont je prends connaissance des oeuvres et je fréquente toujours aussi régulièrement les librairies et les bibliothèques de la région de Saint Omer avec les Agoras 

    Du 15 au 22 octobre se tiendra un grand festival du livre à Saint Omer avec de nombreux auteurs invités dont ddes membres de la SPF , je compte bien sûr m'y rendre et multiplier les contacts .

    Pas de Calais 

     

     

     

    Nous poursuivons en 2023 nos lectures poétiques à la Médiatour de Longuenesse ( 62219) et notre club des poètes au salon de thé le Saint O place Victor Hugo à Saint Omer le tout sous l'égide de la SPF et ce sont de vrais moments de bonheur , de joie et de partage .J'ai transmis aux journaux la Voix Du Nord et l'Indépendant du Pas de Calais le concours international de poésie jeunesse de la SPF ainsi qu'au réseau des bibliothèques et médiathèques du Pays de Saint Omer .Je suis sur facebook quotidiennement pour partager la poésie et les informations poétiques et proposer des parrainages à la SPF ( je viens de le proposer au poète José Eugène qui est une belle plume .J'ai rejoint l'association poétique du Cénacle de Douayeul  et le Cattleya de mon ami Patrice Dufétel avec qui je fais les réunions poétiques et suis l'actualité poétique au plus près avec Poezibao , la revue Catastrophes de Pierre Vinclair , Recours au poème mais aussi libelle et l'estracelle la revue de la maison de la poésie des hauts de france et continue de fréquenter assidument les bibliothèques et librairies de Saint Omer en quête de nouveautés poétiques .

    Merci pour l'hommage rendu à Christian Bobin dans l'Agora , nous lui avons rendu aussi rendu hommage lors de nos rencontres poétiques , j'ai 30 ouvrages de lui

     Pas de Calais

     

     

     

     

     

     

     

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