• 8 mai 1945

     

     

    8 mai 1945

     

    8 mai 1945

     8 mai 1945

    Fin de la guerre en Europe

     La Seconde Guerre mondiale se termine officiellement en Europe le 8 mai 1945, à 23h01 (heure allemande), au lendemain de la capitulation sans condition de l'Allemagne nazie, signée le 7 mai à Reims.

    Elle laisse un bilan sans équivalent dans l'Histoire avec plus de cinquante millions de morts militaires et majoritairement civils (400.000 Américains, autant de Britanniques, 600.000 Français, huit millions d'Allemands, dix à vingt millions de Soviétiques etc).

    Le tournant de la guerre s'est produit lors de la bataille d'El-Alamein, en octobre 1942.

    À partir de cette date, les armées allemandes subissent défaite sur défaite et reculent sur tous les fronts. En février 1945, Dresde est écrasée sous les bombes. La jonction des troupes soviétiques et anglo-américaines a lieu le 25 avril 1945 au milieu de l'Allemagne, sur l'Elbe.

    Le 30 avril, le suicide de Hitler, terré dans son bunker de Berlin avec son dernier carré de fidèles, sonne le glas des espoirs allemands.

    Il revient à son successeur, l'amiral Dönitz, de demander la cessation des combats aux puissances alliées. Celui-ci envoie le général Alfred Jodl, chef d'état-major de la Wehrmacht, à Reims, au quartier général des forces alliées du général Dwight Eisenhower.

     8 mai 1945

     

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    8 mai 1945

    LE  DÉBARQUEMENT 

     

      

    8 mai 1945

     

    8 mai 1945 PARIS  LIBÉRÉ

     

     

     

     

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    8 mai 1945

    Merci pour cette page d'histoire sur le blog  de la SPF. N'oublions jamais ce qui s'est passé!
     Jacques François, je découvre votre poème AUTAN, très émouvant.
     Vive la PAIX! Elle est si fragile.
     Vive la LIBERTE!
     
    Chantal PAYS

    8 mai 1945


    J'avais remporté la première édition du Grand Prix Jean de Lost-Pic de la SPF en 2013 avec ce poème
    écrit en hommage à feu Jean de Lost-Pic, Président de l'Académie des Poètes Classiques de France
    qui avait rejoint le Général de Gaulle en Angleterre. Poème écrit à l'issue d'une visite 5 jours durant
    des plages du débarquement en Normandie.
    A votre appréciation pour une insertion dans cette page du site du 08 mai 1945


    Un monde libre

    Un requiem s'élève aux orgues de cristal.
    La mer berçait les morts de cette litanie,
    Lorsque d'un feu barbare, un monstre à l'agonie
    Echarpait les poitrails en un combat frontal.

    Par l'étoile ou la croix, contre le joug brutal,
    Ils ont tous embrassé sur la chaîne bénie
    La promesse d'une aube où nul ne se renie,
    Juste avant de tomber dans un assaut fatal.

    Aurais-je pu grandir sans votre sacrifice ?
    Serais-je un homme libre au pied de l'édifice,
    Cathédrale invisible où je vous dis "Merci !" ?

    Le silence ruisselle où nulle âme ne bouge.
    Le vent me fait pleurer quand mon coeur sait qu'ici
    Jusqu'à la fin des Temps, la vague sera rouge.

    Jean MORAISIN

    Extrait du recueil "La chair du fruit" Prix Jean Aubert 2013
    chez Flammes Vives.

    En amitié partagée

    Jean Moraisin

     8 mai 1945

    Mon père  et les autres auraient été heureux de savoir que leurs enfants reconnaissent  leur sacrifice suprême en poésie, merci JFD

    Jeannine Dion-Guérin

     8 mai 1945

     

     BARBARIE

     Des baraques le bois empestait la résine ;

    A Dachau, Ravensbrück, Treblinka, Terezine,

    Les nazis avaient fait de la mort une usine

    L’uniforme impeccable, ils avaient l’air bravache

    En face d’hommes nus. Avec une cravache,

    On se sent courageux alors qu’on n’est qu’un lâche.

    C’était un lieu sinistre où dominait la peur,

    Une réalité qu’on voudrait une erreur.

     

    Vous étiez arrivés de tous les horizons

    Dans le fer surchauffé ou glacé des wagons.

    On vous fit aller nus par des temps de rigueur

    Alors que les plus forts perdaient toute vigueur.

    Et que tous les enfants partaient en fumée noire

    Sur le sein maternel dans le four crématoire.

     

    C’est un passé récent qu’à ses enfants l’on cache,

    Dans les livres d’histoire une bien sombre tache

    Et pourtant il faut bien que chacun d’eux le sache

    Et ne pas ignorer que, dans quelques usines

    Avec des juifs, on fit du suif pour les cuisines.

     

     Jean-Baptiste Besnar

    8 mai 1945 

     

     

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